@Rachel336
Jamais!
Leur but est que les hôtes soient des assurances voyage tous risques gratuite.
Le problème est que c’est illégal.
La profession d’assureur étant strictement réglementée comme celle des banques, les hôtes n’ont pas le droit en France de faire une activité d’assureur.
Le pire c’est qu’ils ont déjà développé un outil pour éviter ces problèmes.
Réservation 10% moins chère non remboursable.
10% de frais d’assurance est très cher par rapport aux prix du marché des assurances voyage.
Sauf que comme ils bossent mal, non seulement c’est cher mais en plus ils ne l’appliquent jamais car il est écrit sauf leurs cas de force majeure qu’ils passent leur temps à modifier unilatéralement pour ne pas l’appliquer.
La seule chose qui arrêtera Airbnb sera une (ou plusieurs) condamnation en justice pour ses conditions générales abusives.
C’est malheureux d’en arriver là mais pour les sociétés exerçant une violence économique envers ses fournisseurs ou ses clients, c’est comme ça que ça se termine.
Une discussion récente avec une « entitled guest » nommée Natalia m’a obligée à me repencher sur ces motifs d’annulation donnant droit à un remboursement intégral.
Miss Natalia a eu 100% de remboursement parce qu’il y avait une odeur de peinture fraîche (mais terminé depuis plusieurs jours) donc délai de mise à disposition préconisé respecté.
Ce qui ne veut pas dire qu’il ne reste pas une odeur résiduelle mais celle-ci est non nocive.
Pour les décès et maladies ou graves intempéries et problème de sécurité nationale, c’est couvert pas n’importe quelle assurance voyage.
Donc Airbnb n’a pas à s’en mêler.
Pire certains voyageurs se font rembourser par les 2 canaux : Airbnb et leur assurance.
Le covid, ce sont les lois locales du lieu de location qui s’appliquent d’autant que Airbnb a modifié ses conditions après la réservation = date de signature du contrat.
Les odeurs.
Trop général = clause abusive réputée non écrite.
Pour être applicable, les interdits doivent être explicitement nommés ainsi que leur condition d’application et le montant du dédommagement qui peut lui être appliqué.
Pour le cas de la peinture, il faudrait le délai d’application minimum pour savoir au bout de combien de temps Airbnb n’applique plus le remboursement.
Exemple :
Sur les pots de peinture il est écrit 8h ou 24h pour utiliser la pièce.
Disons que Airbnb ne veut prendre aucun risque et demande à ses hôtes d’attendre 1 semaine pour remettre en location.
Au-dela le voyageur ne serait pas fondé à demander 100% de remboursement.
Le plus énervant, c’est qu’un logement non fumeur qui pue la clope, Airbnb refuse de débloquer la caution alors que parfois il faut annuler la location suivante parce qu’il y a une ... odeur!
2 poids/ 2 mesures.
Dans les hôtels c’est 250$ pour tout désinfecter et c’est écrit explicitement dans les conditions d’utilisation.
Les CDG Airbnb, plus on cherche, plus on trouve.