Démarches de recours contre Airbnb

Rooiti0
Level 4
French Polynesia

Démarches de recours contre Airbnb

Bonjour,


Je vous partage ce lien, qui vous sera certainement très utile dans vos démarches de recours contre Airbnb : 

 

https://ec.europa.eu/consumers/odr/main/?event=main.home2.show

 

Il s'agit d'un dispositif indépendant mis en place par la Commission Européenne pour vous aider et vous accompagner dans le règlement de vos litiges de toute nature, et donc y compris ceux qui peuvent vous opposer à Airbnb.

 

Suite à plusieurs dégâts subis suite à une location, et après de longs mois de conversation stérile avec les équipes internes d'Airbnb pour obtenir réparation, je viens moi-même d'ouvrir une demande de recours via ce biais.

 

Je n'ai pas manqué d'avertir les équipes d'Airbnb de ma démarche, et alors que leur conduite jusqu'à présent avait été d'afficher une indifférence totale et constante malgré la multitude d'interlocuteurs que j'ai pu avoir, leur ton et leur attitude vient brusquement de changer.

 

J'attends donc la suite, mais il semblerait qu'après plusieurs mois de longs échanges infructueux, les choses soient enfin entrain de bouger.

 

J'ai lu plusieurs des témoignages qui ont été publiés ici, et je me suis retrouvé dans plusieurs de vos propos.

Je suis consterné par l'attitude et la façon avec laquelle Airbnb abuse de sa position de force pour fuir ses responsabilités.

Dans mon cas, ils n'ont pas hésité même à multiplier les tentatives pour fabriquer en vain de fausses preuves pour me mettre en tort, et espérer peut-être me voir abandonner.. oui cela paraît invraisemblable, mais je pèse bien mes mots en écrivant cela, et je garde précieusement à disposition dans mes archives tous les détails et échanges de courrier à ce sujet.

 

Si vous êtes dans mon cas, vraiment je vous encourage donc à ne pas hésiter à déposer un recours via ce dispositif, qui je précise ne nécessite aucune avance de frais.

 

Ces pratiques d'Airbnb sont consternantes et inadmissibles, et à ce titre elles méritent d'être condamnées.

Plus vous ferez remonter vos témoignages et les abus dont vous avez pu être victime auprès d'organismes compétents, et plus les autorités se rendront compte de l'ampleur du phénomène.

Cela sera au moins aussi efficace qu'un recours collectif, d'autant qu'Airbnb semble manifestement s'être protégé contre cette éventualité en prévoyant bien de disqualifier ce type de démarche au sein de ses conditions de service.

L'autre avantage de ce dispositif européen est qu'il est extrêmement simple et facile à mettre en place, et qu'il est gratuit.

 

Pour vous préciser un peu le fonctionnement du dispositif.

Il s'agit d'un site qui permet de catégoriser et caractériser votre demande de manière précise et encadrée.

Ensuite, il transmet automatiquement votre plainte à tous les organismes reconnus compétents pour vous défendre dans votre cas précis.

Ces organismes officiels seront chargés ensuite d'analyser votre demande, et d'organiser pour vous votre défense.

Tout ceci se fait de manière assez rapide, claire et sans aucun frais.

 

Voici de nouveau le lien : 

https://ec.europa.eu/consumers/odr/main/?event=main.home2.show

SVP partagez le autour de vous à tous ceux qui pourraient en avoir besoin.

Personnellement, j'ai mis du temps à tomber dessus, alors qu'il mériterait vraiment d'être plus connu.

 

Ensuite, j'aimerais vous inviter également à partager vos retours d'expérience sur ce dispositif ici même par le biais de ce forum.

Cela permettra d'avoir un suivi et de capitaliser sur nos expériences, le but étant de permettre je l'espère d'aider à ce que chaque personne qui a pu être victime des pratiques honteuses et malhonnêtes d'Airbnb puisse trouver ici des éclairages ou éléments de soutien à sa démarche.

 

Je suis convaincu qu'à défaut de pouvoir mutualiser nos actions, c'est en faisant remonter ici tous nos témoignages et notamment ceux qui racontent nos succès et la manière dont nous nous y sommes pris pour y parvenir, que les pratiques inadmissibles et malhonnêtes d'Airbnb pourront cesser.

 

[Titre mis à jour]

109 Réponses 109
Adèle20
Level 3
Marrakesh, Morocco

Uniquement pour les hôtes ayant des locations en Europe

Merci quand même

@Rooiti0  @Anonymous 

 

Nathalie-Et-Gilles0
Level 10
Paris, France

@Rooiti0  bonjour

 

Je ne sais pas si le droit français est pleinement applicable à la Polynésie (qui est POM) mais si c'est le cas, ça peut vous intéresser :

https://community.withairbnb.com/t5/Cercle-des-h%C3%B4tes/FRANCE-Comment-obliger-Airbnb-appliquer-la...

Merci @Nathalie-Et-Gilles0 pour cette précision très utile.

Merci @Nathalie-Et-Gilles0 pour cette précision très utile, et qui pourra en intéresser d'autres probablement, surtout en cette période.

Merci @Nathalie-Et-Gilles0 pour cette précision très utile, et qui pourra en intéresser d'autres probablement, surtout en cette période de Covid propice aux annulations.

Frédéric289
Level 7
Montpellier, France

Rooiti, peut-on vous demander sil vous plaît l'adresse de courriel (e-mail, in English) d'Airbnb que vous avez fournie dans le formulaire de RLL (j'ai trouvé ce que c'était). Je bute directement sur ce détail pratique...

@Frédéric289 voici l'adresse email que j'ai indiquée dans le formulaire de RLL : terms@airbnb.com

 

A ce sujet, relire la réponse que je faisais plus haut à @Catherine2252 

 

Tenir compte également de la réponse apportée par @Nathalie-Et-Gilles0  au sujet du siège de l'entreprise.

 

Bon courage à vous.

Frédéric-Et-Alexia0
Level 10
Vaison-la-Romaine, France

MON MESSAGE N'A PAS VRAIMENT DE RAPPORT AVEC LE COVID ET LES MODIFICATIONS DE LA POLITIQUE AIRBNB mais je ne savais où le placer dans les Items/Forums.

 

Néanmoins, il peut être intéressant dans le sens où est abordé le "poids" de la Cour de Justice

susceptible de casser la réglementation française.

 

 

SOURCE : CAPITAL

                     le 31 mars 2020

 

Saisie de plusieurs questions préjudicielles sur les contraintes imposées par la France en matière de locations saisonnières sur les plateformes de type Airbnb, la Cour de justice de l’Union européenne devrait rendre un avis capital dans les prochaines jours... Sous réserve que la situation sanitaire ne bouscule pas le calendrier.

 

La France, et tout particulièrement la Ville de Paris, vont-elles perdre une bataille capitale contre Airbnb ? Saisie par la Cour de cassation de plusieurs questions préjudicielles sur la conformité au regard du droit européen de la réglementation française en matière de locations saisonnières, la Cour de justice de l’Union européenne est appelée à trancher. Son avocat général doit rendre un avis cette semaine, sous réserve que la situation sanitaire ne bouscule pas le calendrier. Sur la base de cet avis, les magistrats de la cour rendront leur arrêt dans les prochains mois. “L’avis de l’avocat général était initialement attendu au 11 février 2020, mais il a ensuite été reporté au 31 mars, retrace Xavier Demeuzoy, avocat à la cour et spécialiste des locations meublées touristiques. Il est finalement inscrit au calendrier de la Cour, pour ce jeudi 2 avril.”

Depuis le début de l’année 2019, des centaines d’assignations de propriétaires par la Ville de Paris ont été gelées, dans l’attente de cette décision européenne. “Selon ses conclusions, plusieurs centaines d’autres propriétaires susceptibles d’être en infraction pourraient quant à eux bénéficier d’une amnistie juridique, faute de texte conforme au droit européen pour les condamner”, abonde Xavier Demeuzoy, principal avocat des propriétaires assignés par la Ville. Dans tous les cas, cette décision risque de sévèrement rebattre les cartes… Quel est donc cet avis tant attendu et quelles pourraient en être les conséquences ?

Remise en question des règles

Pour commencer, un petit rappel des règles s’impose. En France, l’article L.631-7 du code de la construction et de l’habitation prévoit que, dans les villes de plus de 200.000 habitants et les communes d’Île-de-France, seuls les logements à usage de résidence principale peuvent faire l’objet de locations meublées touristiques et ce, dans la limite de 120 jours par an. Les résidences secondaires ne peuvent, elles, pas être louées sur les plateformes de type Airbnb, Booking ou Leboncoin, à moins d’avoir fait l’objet d’un changement d’usage. Ainsi, après accord de la mairie, et sous réserve des dispositions du règlement de copropriété, il est possible de transformer une résidence secondaire en local commercial, pour y faire de la location meublée touristique. Ce changement d’usage doit alors être assorti d’une compensation : la transformation d’un local commercial d’une surface équivalente en un local habitable ou le rachat de cette commercialité, pour préserver l’équilibre entre habitat et activité économique.

 

Dans les faits, cette contrainte est quasiment rédhibitoire, l’offre de locaux commerciaux étant extrêmement réduite… et les prix extrêmement élevés. Aussi, à Paris, compte tenu de la rentabilité de l’activité, nombre de propriétaires, de studios notamment, se retrouvent hors la loi, continuant de louer leur résidence secondaire sur ces plateformes. Selon la Ville de Paris, près de 20.000 annonces seraient postées en violation de l’article L.631-7. Les contrevenants s'exposant à une amende civile de 50.000 euros, on se rend vite compte des enjeux. En janvier 2018, l’équipe municipale se réjouissait d’ailleurs que ces multipropriétaires se soient fait infliger pour 2,1 millions d’euros d’amendes par les tribunaux. Mais aujourd’hui, les règles sont remises en question. Une affaire, portée jusqu’en cassation par un propriétaire assigné, pourrait même les faire voler en éclat.

La restrictions françaises sont-elles justifiées ?

En effet, selon ce propriétaire et son avocat, l’article 631-7 du code de la construction et de l’habitation n’est pas conforme au droit européen, et notamment à la directive service 2006/123. “La question qui est posée à la Cour de cassation, et qu’elle a renvoyé devant la Cour de justice de l’Union européenne, est notamment de savoir si les locations de courte durée de type Airbnb peuvent bénéficier du régime spécifique encadré par cette directive, dont le principe directeur est la liberté d’établissement des prestataires et l’absence d’entrave de l’État, sauf exceptions ou raisons impérieuses”, traduit Maître Xavier Demeuzoy. En clair, la juridiction européenne devra dire si oui ou non les locations meublées touristiques rentrent dans le champ de cette directive et si la réglementation française ne constitue pas une entrave à la libre prestation de services. Et, dans un second temps, si les restrictions imposées par la France pour limiter les locations dans le temps (120 jours maximum par an) et les logements concernés (résidences principales seulement), sont justifiées par une raison impérieuse d’intérêt général.

 

Oui, répond pour l’heure la France, dont le gouvernement invoque comme justification à ces contraintes la lutte contre la pénurie de logements destinés à la location, et notamment des petites surfaces meublées. Un argument de poids auquel la Cour pourrait être sensible, mais qu’il faudra démontrer. “La défense française devra notamment démontrer le caractère nécessaire et proportionné de ces restrictions, prévient Xavier Demeuzoy. Il faudra donc prouver que le développement des locations meublées touristiques dans les villes couvertes par l’article L.631-7 est directement corrélé à une baisse du nombre de logements disponibles à la location.” En d’autre terme, l’Etat devra montrer que les contraintes imposées par le code de la construction et de l’habitation sont nécessaires à la poursuite de son objectif : préserver l’offre locative.

Les conséquences d’une invalidation de la réglementation

La Cour de justice de l’Union européenne se retrouve donc face à la possibilité de valider ou non la conformité de l’article L.631-7. Dans l’hypothèse où elle considérerait qu’il est compatible avec le droit européen, les juridictions françaises pourront continuer d’appliquer la réglementation dans ses conditions actuelles. Les procédures jusqu’ici laissées en sursis pourront donc reprendre et les propriétaires assignés pourront de nouveau être condamnés sur le fondement de l’article L.631-7. Si la juridiction européenne invalide en revanche la réglementation française, c’est un petit séisme qui pourrait se produire. Car c’est le fondement juridique de toutes les procédures en cours qui pourrait se retrouver illégal. Quelles pourraient alors être les conséquences, pour les propriétaires assignés ces derniers mois ? “Si l’article L.631-7 est censuré et dénué d’autorité, toutes les procédures engagées par la Ville de Paris pourraient être rejetées par le Tribunal, estime Xavier Demeuzoy. On pourrait en outre imaginer, en l’absence de sanctions, la possibilité de louer son logement, résidence principale comme secondaire, sans limitation de durée.”

 

Attention à ne pas y voir une opportunité d’investissement pour autant ! Car, si d’aventure la Cour de justice de l’Union européenne venait à remettre en cause la réglementation française, le gouvernement ne laisserait probablement pas ouverte la boîte de Pandore très longtemps. Il promulguerait certainement un nouveau texte, ou modifierait l’article en question, pour le rendre conforme au droit européen. Mais dans cette hypothèse, notre expert Airbnb y voit un autre intérêt, pour les propriétaires… “Si le texte est invalidé, pourra se poser la question de l’amnistie probable des propriétaires qui étaient en infraction sous l’empire de ce texte avant sa censure”, analyse-t-il. Des centaines de propriétaires pourraient alors ne pas être inquiétés pour cette période antérieure à la décision à venir de la Cour de justice. Un sérieux revers pour la Ville de Paris, qui aura engagé des sommes importantes pour poursuivre des propriétaires blanchis de toute infraction.

On peut aussi s’interroger sur le sort qui serait alors réservé à toutes les personnes qui ont été condamnées sur le fondement d’un texte censuré et qui ont pour certaines déjà payé des amendes corsées. Une censure du texte appellera donc des réflexions importantes quant aux conséquences sur la réglementation des locations meublées de courte durée.

Arrêt attendu entre mai et septembre

En tout état de cause, l’avis que l’avocat général doit rendre ce jeudi 2 avril ne marquera pas la fin de cette affaire. Car, s’il est courant que les magistrats de la Cour de justice de l'Union européenne suivent l’avis de l’avocat général pour rédiger leur arrêt, ils n’y sont pas formellement tenus. Aussi, si l’avis était en faveur d’une censure du texte limitant les locations de courtes durées impliquant un changement d’usage du local, rien ne dit que l’arrêt de la Cour le serait également. Difficile, donc, de prédire l’issue de cette affaire.

 

Si l’avis de l’avocat général est bien rendu cette semaine, conformément au calendrier établi, l’arrêt de la Cour pourrait lui tomber entre mai et septembre. Dans le cas contraire, l’arrêt serait sans doute de nouveau reporté. En attendant, et en pleine épidémie de Covid-19, Airbnb vole au secours des soignants et de ses hôtes. En partenariat avec le ministère du Logement, la société vient de lancer une opération de solidarité - Appart Solidaire - en incitant sa communauté de propriétaires à accueillir le personnel soignant et les bénévoles des centres d’hébergement dans leurs logements libres. La plateforme a par ailleurs annoncé ce lundi 30 mars qu’elle allait débloquer 250 millions de dolla... pour atténuer les pertes financières des hôtes, qui ont été confrontés à une vague d’annulations en raison de la pandémie.

Nathalie-Et-Gilles0
Level 10
Paris, France

@Frédéric-Et-Alexia0 

 

Le rapporteur a rendu un avis défavorable a Airbnb et les juges européen suivent quasi automatiquement l'avis du rapporteur.
Le rapporteur a estimé que les villes pouvaient limiter ces locations si le marché locatif était tendu.

Ce qui est le cas des villes historiques et touristiques.

le seul point a voir est si les contreparties exigées par les villes sont proportionnelles et ce point est renvoyé aux cours suprême des pays (en France, la cour de cassation).


Paris exigeant que le propriétaire transforme le double de m² en habitation de la surface qu'il veut louer en commercial, la cours de cassation pourrait estimer que c'est disproportionné.
Mais ca ne concerne qu'un petit nombre d'investisseurs.

La plupart des loueurs Airbnb loue un local d'habitation sans avoir obtenu la commercialité.

Suite a la décision du rapporteur, madame Hildalgo et monsieur Brossat sont très sereins et ils ont raison de l'être.
Un boulevard s'ouvre devant eux (élection municipale, décision de la CDJE). 

@Nathalie-Et-Gilles0 d'un autre côté je me souviens d'un hotes qui est passé sur le forum annonçant qu'il ouvrirait sous peu avec ses associés 1000m2 de logements rbnb.dans le 4eme arrondt 

 

et lorsque tu connais a Paris et autres grandes villes la difficulté pour les jeunes, etudiants, jeunes travailleurs le mal pour se loger .

 

on ne peut en vouloir a hidalgo and Co 

Nathalie-Et-Gilles0
Level 10
Paris, France

@Anonymous 

 

Il y a des cas ou des boutiques en RDC (surface commerciale) ont été transformées en location touristique de courte durée.
10 surfaces commerciales de 100m² (en général, 50m² en RDC et 50m² en sous-sol) ou anciens ateliers (avant que tout parte en 'made in China') c'est légalement possible.
Evidemment, ce sont des investisseurs avec des moyens.
Les surfaces commerciales étant assez chères à Paris.

 

Je ne dis pas que les resquilleurs n'existent pas mais la mairie est assez active et il serait étrange que les banques prennent le risque de suivre (elles demandent le compromis de vente où il est clairement écrit si c'est une surface commerciale ou d'habitation).

Le cas le plus courant sont ceux qui gèrent des appartement appartenant à des propriétaires.
C'est légal si c'est la résidence principale du propriétaire (retraité : 8 mois à Paris et l'été dans le sud).

Jérôme26
Level 5
Paris, France

Bonjour à tous,

Suite à mes échanges avec @Alexandra113 et  @Nathalie-Et-Gilles0 que je remercie une nouvelle fois pour leur aide, je mets à disposition en message personnel un exemple de courrier type de recours à envoyer à Airbnb et à la Dgccrf

Jérôme

Anonymous
Non applicable

@Jérôme26  whaou super et merci @Jérôme26 

 

je sais que cela prend du temps, mais vu le nombre de posts ouvert pour ce sujet, peut-être serait-il utile de déposer ce message sur plusieurs d'entre eux .

 

 

Weixiu0
Level 2
Paris, France

@Jérôme26 @Nathalie-Et-Gilles0

 

 @Rooiti0  Bonjour, je viens de déposer une plainte à Commission européenne  en demandant l'intervention d'un organisme compétent et je ne manquerai à vous communiquer le résultat. Et Je vais démarrer la procédure auprès de DGCCRF grâce à votre aide que je remercie encore, et ensuite au tribunal d'instance par la suite, si quelqu'un a des informations supplémentaires et récentes concernant ces sujets, je suis preneuse; Je suis convaincue que avec l' entraide, nous avancerons plus efficacement.

Pour information, j'ai même reçu un mail de l'une de mes clientes comme quoi elle reçu un crédit de voyage au nom  de Airbnb suite à son annulation d'une réservation chez moi. Bien cordialement, Weixiu

Weixiu0
Level 2
Paris, France

@Jérôme26  bonjour, Suite à votre message privé, je vous indique cette clause qui nous inclut les possibilité du recours collectif si je ne me trompe pas :

Conditions de Service pour les Utilisateurs Européens de Airbnb

19.11 Renonciation aux Actions collectives ou Recours collectifs. Dans les limites les plus étendues autorisées par la loi, vous et Airbnb reconnaissez et convenez que chacun renonce au droit de participer en tant que plaignant ou en tant que simple membre du groupe à un recours collectif ou à une action collective, un arbitrage collectif, un recours privé devant le procureur général ou toute autre procédure de représentation pour tous les Litiges. De plus, à moins que vous et Airbnb n’en conveniez autrement par écrit, l’arbitre ne pourra pas regrouper les plaintes de plus d’une partie et ne pourra pas accepter d’arbitrer une quelconque action collective ou recours collectif. Si la renonciation aux actions collectives ou à l’arbitrage collectif prévue à la présente clause 19.11 est déclarée inapplicable à un quelconque Litige, alors l'intégralité de la Convention d'arbitrage sera réputée nulle en ce qui concerne ce Litige, et le Litige devra être porté devant un tribunal. Si la renonciation au recours privé devant le procureur général ou la renonciation à toute procédure de représentation prévues à la présente clause 19.11 sont déclarées inapplicables à un quelconque Litige, ces renonciations seront dissociées de cette Convention d’arbitrage, et vous et Airbnb reconnaissez que les recours privés devant le procureur général et les procédures de représentation en lien avec le Litige seront dissociés et suspendus, dans l’attente du règlement de la procédure d’arbitrage individuelle portant sur le Litige.

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