@Nathalie-Et-Gilles0,
Oui, au moins 10 fois depuis la dernière version de Chrome et de Firefox ainsi que depuis l'application: je peut remettre à blanc la description mais pas les règles additionnelles.
En plus celles qui apparaissent en mode modification en anglais sur mon compte sont la dernière version avant la suppression du champs règles additionnelles dans chacune des pages langues il y a 2 ans.
Un copain informaticien m'a dit qu'ils n'avaient pas vidé les champs avant d'en supprimer l'affichage sur les pages langues. Elles restent comme des vestiges archéologiques enfouies dans les couches profondes du système recouvertes par les mises à jour.
Il y a 6 mois, plutôt que de faire des fouilles, ils ont supprimé totalement l'affichage des règles dans les autres langues dans une version (la mienne par hasard), en se disant si on ne les affiche plus du tout il n'y aura plus de problème de décalage entre la version antérieure et les règles actuelles.
En gros c'est comme si chez moi je fermait une chambre parcequ'elle n'est pas propre. Elle n'est plus accessible donc les voyageurs ne voient pas qu'elle est sale, problème "résolu". Sauf que si la laisse tout va pourir et contaminer le reste. C'est ce qui leur pend au nez avec cette histoire de DGCCRF.
Car en fouillant dans les mails échangé j'en ai retrouvé un du service client Airbnb avec noté noir sur blanc qu'ils avaient bien pris en compte les règles suivantes en anglais (copie de mes règles additionnelles) et que, dans l'incapacité technique de les diffuser, il m'assuraient qu'en cas de soucis elles feraient foi et de ne pas m'inquiéter, qu'ils les feraient appliquer. Je pense que l'inspecteur va adorer ce mail.
@Sylvie56, pour l'histoire des contrats l'épouse du voyageur m'a appelé en direct pour s'excuser du message envoyé par son mari. Elle m'a expliquer qu'ils viennent de se faire planter 2 fois de suite avec des hôtes annulant à la dernière minute ou les laissant à la rue! Ils n'ont plus qu'une confiance très limitée dans le système Airbnb et souhaitent prendre leurs précautions ce que je peut comprendre. Et je ne suis pas le seul, des amis de ma soeur se sont tourné vers une association de consommateurs suite à une mésaventure à Londres dernièrement: à la rue avec leurs 3 enfants car l'hôte avait loué plus cher sur une autre plateforme. On leur a dit de demander un contrat de location qui leur permettrai de faire valoir leurs droits en cas de litige et de ne pas être soumis aux décisions arbitraires et sans appel du service client Airbnb.
