@Laure67, le problème est compliqué, mais il me semble qu'il vaut mieux éviter d'écrire, "interdit de..." car cela peut susciter des actes délibérés contraires au règlement que l'on estime juste. Lors du check-in, on peut alors aborder certains sujets sans que cela paraisse trop formel.
A la maison, je ferme à clef deux placards (et aucune pièce), celui où sont rangés nos papiers (actes de propriétés...) et mon armoire, dans ma chambre où sont rangées... mes petites culottes. Que dirait un psy s'il passait par là, que je suis normale je crois. Les locataires peuvent ouvrir ma penderie (qui ne ferme pas à clef, sinon je la fermerai, mais cela ne m'ennuie pas trop) mais pas mon armoire où sont rangés mes sous vêtements, pyjamas...
En louant les problèmes sont rares, quand même, il peuvent être de deux ordres:
-dégâts, casse, saleté, qui demandent alors soit une tractation directe avec le locataire soit de passer par le centre de résolution si le litige n'est pas réglé rapidement à l'amiable.
-vandalisme, vols, et là, j'aurais recours à la police, le fait qu'on loue notre maison ne permet pas à des locataires de voler ou vandaliser le logement loué, c'est und élit, condamnable parla loi, je déposerai aussi un dossier sur Airbnb. En cas de petites culottes découpées en morceaux je déposerai plainte auprès de la police car cet acte relève d'un problème psy qu'il vaut mieux signaler. Le signalement à la police est d'autant plus aisé qu'ils peuvent contraindre Airbnb de donner les coordonnées des locataires ayant commis ce délit.
On imagine toujours le pire, certes ça peut arriver mais le pire n'est jamais sûr!
Jacqueline