@Virginie147
Si vous louez en courte durée les prix sont libres.
Depuis la loi Elan de 2018, les chambres chez l'habitant peuvent etre louées toute l'année.
Mais si vous louez en bail mobilité ou étudiant, les plafonds s'appliquent et le prix hors charges imposé par l'état doit être mentionné dans le bail.
voici le lien officiel des plafonds de loyer :
http://www.referenceloyer.drihl.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/
A moins d'avoir peu de demande, il est plus rentable de louer en courte durée.
A l'inverse un bail touristique peut aller jusqu'à 3 mois maximum.
Il ne peut être conclu qu'avec des touristes.
@Luisa227
La loi a amélioré l'offre pour les étudiants et travailleurs.
Avant 2018, le bail mobilité n'existait pas.
Vous n'imaginez pas le nombre de refus que j'ai du faire pour les étudiants Erasmus qui viennent 3 ou 6 mois et même une enseignante nouvellement mutée à Paris et qui voulait louer 3 mois pour chercher tranquillement.
Comme la location en courte durée est interdite pour les logements entiers résidences secondaires, l'offre ne se raréfie pas.
En revanche, les achats massifs par la mairie et les institutionnels (banques, assurance, fonds de pension) qui ne revendent jamais (pas de décès, divorce et changement de vie) enlèvent du marché immobilier des immeubles entiers et en raréfiant l'offre, les prix augmentent.
Les parisiens sont doublement pénalisés.
Les prix augmentent et la dette avec intérêts de la ville augmente.
Elle était de zéro € en 2000. Elle est de 7 milliards € en 2018.
Paris est passée de ville riche et propre à ville pauvre et sale.