Bonjour @Annie369
Le mot menaçant est grave.
Vous ne pouvez pas l’utiliser n’importe comment.
Quelle type de menace?
Si c’est : « on va te tuer! » , c’est à la police qu’il faut alerter.
Si c’est : « j’exige que la piscine soit en eau quand j’arrive ou à être intégralement remboursé », ce n’est pas une menace mais une demande ferme d’application du contrat, ce qui une une demande normale et certainement pas une menace.
Quand on est dans ce genre de situation, on se réfère à l’annonce, à la loi et à la jurisprudence.
Dans votre annonce, le règlement intérieur est vide.
Ce sont les conditions particulières au contrat.
Il n’y a aucune restriction à l’utilisation de la piscine sauf pour l’utilisation de la crème solaire.
Pas d’obligation de prendre une douche avant de se baigner.
Pas d’interdiction d’inviter 25 potes à partager un après midi et la soirée autours de la piscine.
Est ce que la piscine est partagée avec d’autres personnes?
Pas d’interdiction d’utiliser des verres.
Si un morceau de verre cassé tombe dans la piscine, c’est quasiment indétectable et si un de vos voyageurs se blesse, l’hôte est responsable.
Et pour votre cas, une restriction dans temps style « La piscine est ouverte du 1er mai au 15 octobre ».
« La piscine est accessible de telle heure à telle heure »
Ou : « en cas d’orage , la piscine peut prendre une couleur verte. »
Ou : « L’acces de la piscine peut être limitée pour des raisons de maintenance technique. »
Donc à partir de là, le voyageur peut exiger d’y avoir accès même le 25 décembre d’autant que c’est la 1ère photo dans votre annonce.
En conséquence, vous devez prévenir le voyageur que cet équipement n’est pas accessible (ce que vous avez fait) et selon la jurisprudence, soit proposer d’annuler avec remboursement intégral, soit proposer 25% de réduction sur le prix de la location.
Si le voyageur accepte la réduction, il réserve en toute connaissance de cause et ne peut réclamer davantage.