@Florent40
Comme écrit dans ma 1ère réponse, je pense qu’il y a un vrai point de droit.
Si l’hébergement à titre gratuit est illimitée, sur Airbnb, il n’est pas gratuit (50€).
Je n’ai pas envie ni le temps de creuser pour savoir dans quoi les hôtes se sont embarqués sans réfléchir.
A eux et Airbnb de faire le boulot.
Mais il n’est pas impossible que comme c’est payant, les 120j de la résidence principale s’appliquent.
Pour les résidences secondaires, dans les villes / villages où c’est libre de louer , il n’y a pas de contrainte.
Dans les villes où c’est interdit comme Paris, je suggère de faire signer ASAP un bail mobilité de 1 mois minimum.
Mais évidemment, si la personne est restée 15j, ça peut être illégal.
Ou alors rembourser les 50€ perçus et faire signer un bail de location à titre gratuit.
Ce qui est sur, c’est que comme tout hébergement, ils sont soumis à la loi.
En cas de refus de départ, il est soumis au procédure d’expulsion par un procès.
C’est arrivé il y a quelques années à une dame qui a proposé à un SDF de s’installer gratuitement pour l’hiver dans une cabane au fond de son jardin.
Bien que peu luxueux, le SDF a refusé de le quitter et elle en a eu pour 2 ans de procédure d’expulsion mais surtout de peur car c’était une femme seule et il passait par son jardin pour entrer.
Je ne pense pas qu’une telle situation arrivera mais c’est pour expliciter que même les idées généreuses engagent juridiquement les gens et que la méthode yakafokon marche rarement.